Rencontre Poésie et Peinture autour de Joan Jordà, Salvador Espriu, Gaston Puel à Sigean (11) aux Ateliers de la Maison du Roy le dimanche 30 juin 2013 à 16h
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Il y a quarante ans, en 1973, la galerie Ferrero, qui s'appelait alors Studio Ferrero, organisait une grande exposition regroupant vingt-sept jeunes artistes sous l'appellation « Ecole de Nice ». Plus de cent cinquante oeuvres offraient au public un large panorama de la création niçoise en ce début des années 70. Toutes les tendances de ce mouvement y étaient représentées (Fluxus, Nouveaux-Réalistes, Supports-Surfaces, Groupe 70) ainsi que des individualités inclassables. Si l'Ecole de Nice est un concept à géométrie variable, sans limites géographiques, chronologiques et artistiques bien définies, il nous a semblé intéressant de nous interroger sur l'actualité de ce mouvement en 2013. Que sont devenus les artistes encore en activité quarante ans plus tard ? Si certains artistes refusent aujourd'hui d'y être encore associés pour des raisons personnelles (notamment Martial Raysse qui a quitté la région), la plupart revendiquent volontiers leur appartenance à ce mouvement, de manière principale ou secondaire. L'Ecole de Nice en 2013 est le résultat d'une addition de parcours artistiques personnels ayant conduit ses acteurs vers des sphères parfois très différentes. Cette diversité constitue la force de l'Ecole de Nice, elle lui permet d'occuper un espace artistique très large et varié. La longévité de l'Ecole de Nice s'explique aussi par le dynamisme et la créativité de ses membres qui leur permettent de toujours compter dans l'art actuel, malgré une concurrence accrue sur le marché de l'art, avec l'arrivée de générations plus jeunes et surtout une offre mondialisée et globalisée. Par son unicité, l'Ecole de Nice en 2013 intrigue le monde de l'art autant, sinon plus, qu'en 1973.
Guillaume ARAL - Emmanuelle SERIGNE
GALERIE FERRERO
2, rue du Congrès
06000 NICE - France
www.galerieferrero.com
T : 0033 (0)4 93 88 34 44
Jeudi 13 juin à 18h30
Présentation-lecture
L'effigie et autres carnets (L'Amourier)
par Jean-Marie Barnaud
avec la participation de l'association Podio
Trois récits, trois histoires dont les acteurs sont traversés par la question de l'identité. Un marginal excentrique, un écrivain en proie à ses monstres et un narrateur que travaille le souvenir de ses rêves.
Chacun consigne son enquête dans ses " carnets " ; et tous s'interrogent sur le sens de la vie, le pouvoir des mots et sur le piège qu'ils sont parfois. Antibes, les collines corses, la " maison lointaine ", l'océan, le voyage maritime, sont le décor d'une expérience du dénuement qui conduit peu à peu ces personnages à rêver d'une enfance à venir.
Traversée par les incertitudes et les déchirures de la vie, animée d'un souffle puissant et poétique, l'écriture de Jean-Marie Barnaud demeure toujours simple et limpide.
Né en 1937 à Saintes. Habite à Mougins. Collaboration littéraire et critique en particulier à : L'Atelier contemporain, Europe, Nu(e), La Polygraphe. Tient une chronique régulière sur le site remue.net. Dirige, avec Jean-Pierre Siméon, la collection Grands fonds de Cheyne éditeur. Publie son œuvre poétique chez Cheyne éditeur. Prix Georges Perros 2001 et Prix Apollinaire 2010.
A publié des romans et récits chez Gallimard, Verdier/Deyrolle et L'Amourier.
La bibliothèque municipale de Charleville-Mézières lui a réservé, à l'automne 2002, une exposition particulière et a édité à cette occasion un important catalogue consacré à son parcours d'écrivain: Jean-Marie Barnaud, "pour saluer la bienvenue".
Librairie tac Motifs
24-26, rue Marcel Journet - 06130 Grasse Tél :04 93 36 00 38 - mailto:tacmotifs@aol.com
Jeudi 13 juin à 18h3Présentation-lectur
L'effigie et autres carnets (L'Amourier)